NOS RÉPONSES À VOS QUESTIONS

Notre association vend des prestations de service qui sont effectuées par des prestataires indépendants (rédacteurs, traducteurs et correcteurs) qui facturent l’association pour leur travail. Ainsi, les recettes de l’association reviennent exclusivement à des travailleurs. Le solde positif des achats et ventes reste au sein de la structure, constituant sa trésorerie, qui ne peut être partagée, qui ne peut être utilisée que pour la cause commune formant notre objet social, c’est-à-dire la défense et la valorisation des intérêts des rédacteurs, pour garantir la pérennité de notre association, par exemple pour investir dans du matériel adapté à nos services.

Lorsqu’un client s’adresse à un leader du marché de la rédaction de comptes rendus, il faut savoir que la rémunération du rédacteur représente en moyenne 35 à 50 % du prix facturé au client. Le reste sert à rémunérer le service commercial, l’équipe de production (chargée de l’affectation des travaux et de la gestion des fichiers), le service de contrôle qualité, mais aussi la direction, voire l’actionnaire, sans parler des loyers et taxes qu’il faut honorer. Il n’est donc pas surprenant que le turn-over des rédacteurs soit élevé au sein de ce type de société.

Pour garantir à nos clients une qualité constante, notre association a résolument adopté un autre modèle social et économique. Nous choisissons de collaborer avec des professionnels expérimentés à qui la Compagnie des rédacteurs reverse 90 % du prix facturé au client. Leur expérience, leur polyvalence et leur autonomie leur permettent de nouer avec nos clients une relation personnalisée, de s’organiser en réseau et à distance et de gérer des affaires de façon coopérative, intelligente et efficace. Cette organisation du travail garantit le professionnalisme de notre prestation tout en valorisant les individus qui composent notre collectif.

Nous constatons et nous sommes convaincus que le modèle économique de la Compagnie des rédacteurs est à la fois viable et vertueux. Avec nous, le client ne paie pas plus cher, mais le rédacteur est mieux rémunéré, ce qui nous permet véritablement d’attirer les meilleurs talents et d’apporter un service de qualité supérieure.

Nous intervenons essentiellement dans le nord de la France (en Normandie, Île-de-France et Hauts-de-France), mais nous pouvons nous déplacer dans d’autres régions pour certains événements, par exemple un colloque.

Pour le gain de temps que cela vous permet, car la transcription est un exercice chronophage. Pour une restitution par un tiers, neutre, objective, sans parti pris. Pour confier la transcription écrite de vos réunions à des professionnels de la rédaction. Concernant le comité social et économique, la rédaction d’un procès-verbal est obligatoire au sens de l’article R. 2315‑25 du Code du travail, et le secrétaire du CSE peut confier cette rédaction à un prestataire.

Il suffit d’inscrire le point à l’ordre du jour et de procéder à un vote en séance. La décision est prise à la majorité.

Non. Le droit d’enregistrer les débats est reconnu dans l’article D. 2315‑27 du Code du travail : « L’employeur ne peut s’y opposer sauf lorsque les délibérations portent sur des informations revêtant un caractère confidentiel. »

Non. Le prestataire rédige le document sous la responsabilité du secrétaire, qui doit en vérifier l’exactitude.

Oui, mais il faut que ces notes soient accompagnées d’un enregistrement afin d’établir un compte rendu pertinent.

Selon l’article D. 2315‑26 du Code du travail, le procès-verbal « contient au moins le résumé des délibérations du comité ».

Nous possédons des enregistreurs et n’intervenons que pour la partie technique utile à la rédaction : l’enregistrement audio.

Oui. Au préalable, il faut déterminer à qui et par quel biais le fichier numérique peut être remis. L’enregistrement peut être accessible sur une plate-forme sécurisée pendant une durée qui est à définir. Il peut être conservé ou détruit à la demande du client.

Pour faciliter la rédaction, la compréhension des débats et l’identification des intervenants, il est utile de nous envoyer la liste des présents et l’ordre du jour, voire des documents présentés en séance.

Le rédacteur arrive sur les lieux suffisamment à l’avance pour installer son matériel et établir un plan de table qui lui permettra d’identifier les intervenants. Il a simplement besoin d’une place assise, d’un coin de table et d’une prise électrique. Pendant la réunion, il prend des notes de façon discrète, sans intervenir dans les débats. Néanmoins, il peut rappeler les personnes à la discipline si elles parlent en même temps et l’empêchent de mener à bien sa mission.

Oui. Dans ce cas, il ne pourra rendre compte de la réunion que de manière synthétique.

Non. Une fois le cahier des charges validé par un devis ou un contrat, il n’est pas possible en cours de séance de demander à un rédacteur des changements qui dénatureraient le cahier des charges.

Oui. Il est préférable qu’un même rédacteur s’occupe des prestations d’un client régulier, dont il apprend peu à peu l’histoire, le fonctionnement, les enjeux et les particularités. En cas d’indisponibilité, il est suppléé par un autre rédacteur avec lequel il forme ainsi un binôme.

Au minimum une journée et demie pour une heure d’enregistrement. Le délai varie au gré de différents facteurs : la durée de la réunion, la date de validation du devis, la disponibilité des rédacteurs… Des travaux peuvent être réalisés en urgence, facturés en conséquence.

La Compagnie des rédacteurs

  • Association loi de 1901
  • contact@co-redacteurs.fr
  • 02 35 50 72 91
  • SIRET : 815 339 080 00021

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